Depuis la création de FaceBook, Mark Zuckerberg n’a cessé de faire parler de lui, c’est pourtant sur un plan relativement différent des réseaux sociaux qu’il s’est récemment illustré.
La résolution de l’année : tuer pour manger !
Vous avez envie de faire un barbecue ce soir. Pour cela, rien de plus simple, il vous suffit de faire un crochet au supermarché du coin ou chez votre boucher de quartier pour acheter une barquette de merguez. Un acte de consommation simple, du domaine du quotidien, mais sur lequel Mark Zuckerberg s’est pourtant questionné.
En fait, il a décidé qu’en 2011 il ne consommerait que des animaux qu’il a lui même tués. Comme il l’explique au magazine Fortune, ce challenge personnel a pour but d’être reconnaissant pour la nourriture qu’il mange, et de lui permettre de mieux prendre en compte le fait que d’autres êtres vivants doivent mourir s’il consomme de la viande.
Dans les coulisses de l’alimentation
La banalisation de la consommation de viande, et l’aspect lisse et propre des rayons de supermarchés ont eu pour effet de masquer l’acte de mise à mort des animaux que nous consommons.
Pratiquer cet acte permet de prendre conscience de cette violence et de se confronter à l’aspect le moins « sexy » de notre mode de consommation carnivore : consommerions-nous autant de viande s’il nous fallait tuer nous même des animaux ?
Un raisonnement loin d’être inhumain
Je ne suis pas un fidèle, un adepte, ou un adorateur de Mark Zuckerberg mais je partage son point de vue sur la question de la banalisation de nos actes. Son invitation serait je pense la suivante : « assumons nos choix de consommation, ou changeons de mode de consommation ». Alors, prenons pleinement conscience de tout ce que cela implique.
Je ne suis pas prête à tuer pour manger, d’ailleurs je pense que ça n’en vaut pas la peine… C’est pour cela que je ne mange pas de produits animaux, pas si bête!
En lisant les premières lignes je m’attendais à une décision complètement stupide, mais en fait c’est carrément sensé !
Même si ce n’est pas forcément applicable à moins d’avoir ses propres bêtes.
Comme les locavores et les freegans, ce positionnement a au moins le mérite de nous alerter sur notre manière de consommer, souvent mise en place sans réelle réflexion.
Pouvez vous nous remettre notre ancienne barre de discussion instantanée s’il vous plait, la nouvelle est vachement nul ! Quelle idée ! Merci