Il est de petites actions que l’on peut faire au quotidien pour contribuer à notre façon à la diffusion de la pensée écologiste dans la société, comme de participer à des manifestations du type Parking Day (11 Sept 2011 – voir les actions prévues) ou Earth Hour (24 Mars 2012), rouler au pas quand un Hummer nous suit, éteindre des néons dans notre ville, ou encore planter de la verdure dans les zones très urbanisées.
Engagement frileux, ou véritable acte de désobéissance civile, nous espérons tous apporter notre pierre à l’édifice. La question que je me pose aujourd’hui est de savoir si agir en douceur nous rend amorphe, ou si au contraire cette attitude pratiquée sur le long terme n’est pas plutôt insidieusement virale (à prendre dans le bon sens du terme).
Pour creuser le sujet et pousser un peu cette réflexion, je m’en vais relire le livre La Désobéissance civile écrit par Henry David Thoreau en 1849. Une version PDF gratuite du livre est disponible sur le site www.desobeissancecivile.org, si vous souhaitez découvrir ce qui est sans doute l’un des ouvrages fondateur du concept de non-violence.
J’ai u ce livre aussi. Très intéressant. La société reprend le contrôle de sa démocratie en découvrant différents moyens d’influencer la politique. Je pense que cette « reprise » de pouvoir est notre seul salut, à nous et celui de la planète qui supporte notre poids.
la pollution peut être considérée comme le résultat non pas d’une industrialisation, mais d’un exces…
On devrait prendre conscience de la polyvalence de la nature des choses; le fait d’inventer la voiture ne dispense pas d’utiliser la bicyclette là où elle est mieux que la voiture; et de marcher quand la marche est mieux que la bicyclette…
On d »vrait repenser au concept de la polyvalence de la nature des choses dans le monde…